Twardochles Matthias.

Publié le par didier Le Roux

 

Twardochles Matthias est un nom, qui était connu de quelques écrivains ecclésiastiques avant le temps de Bock, et encore pour une sorte d'attache d'un intérêt romantique à sa vie. Il y avait une histoire secrète parmi les sociniens: qu'il éleva Grégory Ottreprowicki, ou Griska Uttepreja, sous le pseudo bien connu de Dimitri, et qu'il était son ami privé et conseillé.

 

Ce jeune homme, sous le nom du Prince Dimitri, envahit le Grand Duché de Moscou sous le règne de Boris Godounov, saisit la direction du gouvernement, et provoqua qu'il soit appelé Tzar. Boris a agît en la capacité de Régent durant le règne de Fédor Ivanovich, et il est dit pour avoir  été à la base de l'assassinat de Dimitri, le second fils d'Ivan Vassilovich, et frère de Fédor, et alors d'avoir tuer les meurtriers. Après ceci il empoisonna Fédor, et usurpa le trône vacant. Mais comme l'usurpation emmena communément à la tyrannie, le règne de Boris fut l'un de la cruauté et de l'oppression, et il devint odieux aux yeux des personnes, qui longtemps ont attendu d'être libérées du joug. Dans l'année 1604, une rumeur vint de l'étranger, que le Prince Dimitri, la dernière d'une maison de Rurik, qui était supposé pour avoir été tué alors enfant à Uglitsch, était toujours en vie, et employé à faire des préparations pour l'affirmation de ses droits, et le recouvrement du trône de ses ancêtres, qui avaient dirigés le Grand Duché de Moscou, à travers un ligne de cinquante six souverains, et durant une période de sept cent trente six années. D'Ottreprowicki, il est dit, qu'il a été éduqué en Pologne, profitant lui-même de la non satisfaction générale, et de sa ressemblance au réel Dimitri, assumant son nom, a été assassiné à sa place par l'assassin de Boris, collectant une bande de disciples, entrant en Russie, et étant rejoint par les troupes qui avait été envoyées pour s'opposer à lui, et ceci se passa en mars sur Moscou, quand Boris soudainement décéda, le 13 avril 1605, non sans un forte suspicion d'avoir perdu sa vie par le poison. Rien maintenant est dit de la trajectoire d'Ottreprowicki, qui saisit la direction du gouvernement, et fit proclamé Tzar du Grand Duché de Moscou. Mais son règne fut de courte durée. Il perdit sa vit lors d'une insurrection populaire, tenue par un boyard, du nom de Basil Zuski, par qui il périt, le 17 mai, ou, selon les mêmes récits, le 8 mai 1606, à Moscou, alors que célébrant ses noces avec Anna Maria Geogia, fille du Palatin de Sandomir, à qui il a été marié par procuration à Cracovie, le 24 novembre 1605.

 

Cette histoire de ce jeune audacieux a évolué en une considérable obscurité. Beaucoup de ses contemporains croyaient ses revendications pour être bien fondées, et il est toujours considéré douteux, s'il était ou pas la personne, qu'il se présentait lui-même pour être. Smalcius, dans son Diary, bien sûr le considérait pour être le véritable prince Dimitri, et non un imposteur. Sous l'année 1604, il disait, "Cette année Dimitri, fils de John Basilius, Duc du Grand Duché de Moscou, devint connu, qu'il fut caché pendant sept années dans le monastère de Ruvergne." (Zeltneri Hist. Cryto-Soc. Suppl. p. 1179.) 

 

Après qu'Otterprowicki fut installé sur le trône pour quelques mois, Twaedochled entreprit un voyage à Moscou, dans le but de lui rendre visite, et fut gracieusement et honorablement reçu. Selon Smalcius, il s'installa à Moscou le 7novembre 1605, accompagné de J. J. Moscorovius, Nicholas Rosteck, et Lubczowski. Mais son installation à Moscou fut de courte durée. Il vit un nuage gagner l'entourage du nouveau monarque élevé, profitant du synode approchant en Pologne, comme d'excuse pour son départ fort soudain, et ainsi se sauva des mâchoires de la destruction. Ce fut très peu de temps après qu'il quitta Moscou, qu'Ottreprowicki fut assassiné par Basil Zuski, qui lui succéda comme Tzar, et dont les adhérents, à la période de l'élévation au trône de Ottreprowicki, sous le nom de Dimitri, étaient véritablement d'un esprit d'hostilité meurtrière envers la nation polonaise.

 

Gittichius mentionne Twardochled dans une lettre non publiée à Krokier, datée du 27 janvier 1613, et dans une lettre manuscrite à un ami anonyme, il disait, "Je suis désolé que vous, et notre cher aimé frère Twardochled, n'ayez pas changé vos noms." Existera t-il un regret occasionné par un sens de danger, auquel Twardochled s'expose en tant que patron et ami d'Ottreprowicki?

 

Le sujet du présent article est d'abord d'officialiser alors un Ministre de l'Eglise Socinienne à Lublin. Mais il apparaît pour avoir été inquiet dans sa situation ici, et en 1615, fut déplacé à l'église de Kissielin, de laquelle il eut la charge pour vingt ans. Il était de constitution délicate, et fut autorisé à faire se changement sur sa propre demande. Son esprit était impressionné avec l'idée, que sa vie puisse être prolongée sous chaque inconvénient à Kissielin, où il y avait une grande pénurie de médecins, bien qu'à Lublin, il y avait d'innombrables praticiens en abondance, et les médicaments en quantité, et finalement, que sa vie pouvait être écourtée à tous moments par le poison.

 

Twardochled est représenté comme étant d'aucune manière dans de faibles circonstances, mais plutôt riche qu'autrement, et annuellement, à chaque retour de synode, il fit un présent d'une centaine de florins aux fonds de l'Eglise. Lubieniecius, qui le reconnaît parmi le nombre des travailleurs dans l'église de Lublin, disait, qu'il était un homme de piété singulière, économe dans sa nourriture et son vestimentaire, mais pas regardant dans sa charité pour les pauvres.

 

Il écrivit un récit de son voyage à Moscou, dont, s'il pouvait maintenant être retrouvé, serait un document historique valable, en lien avec l'une des parties des plus obscures de l'histoire de la Russie.  Boock disait, il n'y a aucun doute qu'autrefois il existait; et  les idées, que dans son temps, il put avoir été caché quelque part. Mais ses efforts pour le tracer auprès de possesseur se sont trouvés stériles. Au synode de Rakow, en 1630, une résolution fut passée, enjoignant Twardochled de commettre un écrit du récit de son voyage dans le Grand Duché de Moscou auprès du Tzar Dimitri, et de le présenter au synode, qu'il puisse être déposé dans la librairie de l'église, comme un mémorial perpétuel de lui-même.  

 



didier Le Roux
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